mardi 31 mai 2011

Conclusion pour les éléments

  Le plus important d’une manière matérialiste peut sembler être le centre de rotation, de certains astres sur eux-mêmes, du système solaire, des tourbillons galactiques, etc..., et donc l’énergie importante qu’il renferme ; ainsi la concentration de l’Energie est importante à l’égard de notre existence, sachant qu’elle peut aussi nous détruire par l’intermédiaire de ses éléments tertiaires. Mais avant l’existence d’astres, nous devons considérer un équilibre de l’énergie formant des cycles permettant d’obtenir les atomes, ceci en produisant de la lumière à une concentration suffisante, puis une boule d’énergie où se font les cycles intermédiaires et les atomes, comme le centre de certains astres, c'est ce qui semble se passer, par l’intermédiaire du télescope, dans ce qui nous est désigné comme le trou noir, avec en plus l’absorption de matière déjà existante, mais les phénomènes impliqués dans ceci ne sont pas encore très clairs, bien qu’un équilibre soit certainement en jeu et en partie sous la forme d’un tourbillon apparemment. Les éléments naturels importants développés ensuite sont les composants chimiques qui donneront le sol, qui sera agité par le mouvement central et l’interaction des astres ; aussi les volcans et les mouvements des plaques lithosphériques de par le potentiel énergétique du centre des astres, ensuite les couches gazeuses de l’atmosphère qui retiennent l’eau et les vents de gaz mus entre autres par les interactions des planètes, et les dégagements de chaleur qui peuvent former la foudre ; enfin les organismes vivants issus de la combinaison ou de l’équilibre de tout ceci, ce qui les rend très dépendants.



De manière schématisée, nous obtenons :



Energie

+

Fractalisation asymétrique, Mouvement, Résistance, et Equilibre

Apporte : Particules malléables, Lumière, Particules intermédiaires, Chaleur, Atomes, Molécules, Matière, Astres et leur potentiel énergétique

+

Fractalisation asymétrique, Mouvement, Résistance, et Equilibre

Apporte : Flux de Particules, Gaz, Liquides

Leurs mouvements étant dus à leur propre équilibre et à celui des astres

+

Fractalisation asymétrique, Mouvement, Résistance, et Equilibre

Apporte : Organismes vivants

mardi 24 mai 2011

Les éléments tertiaires

Ces éléments peuvent s’ordonner selon la manière dont ils s’équilibrent afin d’y mettre un sens d’importance :

La lumière suivant la logique de ce système proviendrait de la concentration des particules malléables se mouvant ensemble ou plutôt de leur type si nous considérons le degré de fractalité (cf. la note [1] au sujet de tous les éléments dans la publication précédente). Mais pour nos sens elle possède différentes sources directes qui peuvent être des réactions chimiques, comme la combustion, aussi celle produite par les lucioles, et celle correspondant aux fusions ou explosions nucléaires ; mais peut aussi être l'électroluminescence produite par exemple par la foudre.



La chaleur suivant la logique de ce système se manifesterait à la base par le mouvement des particules secondaires inférieures à l’atome, et le contact qu’elles produisent, donc de manière sensible des plus grosses du second élément secondaire emportées par celles du premier, ainsi la lumière produirait plus ou moins de chaleur en fonction de la quantité et de la taille des particules suffisamment libres du second élément secondaire qu’elle transporte ; mais à l’échelle de nos sens elle a pour principales sources les réactions chimiques exothermiques comme la combustion (volcans et feux) et la fermentation (sol), mais aussi les chocs (astres et autres solides), les frottements (mouvements des plaques lithosphériques, astres et autres solides), la compression ou concentration d’énergie (centres des tourbillons, haute couche de l’atmosphère ou thermosphère) et la radioactivité (réaction en chaîne dans le soleil ou le centre de certains astres, et minerai issu du sol).



Les astres ne sont pas sans la concentration énergétique qui les a créé, ainsi nous obtenons entre autres le Soleil, la Terre, la Lune, et les comètes.



L’atmosphère n’est pas sans un phénomène énergétique qui permet la formation de couches plus ou moins résistantes aux échanges de particules, et pour nos sens sans la formation de gaz qui est issue de l’activité volcanique ou d’autres phénomènes liés à la masse en fusion comme les failles.



La pesanteur n’est pas sans le phénomène énergétique qui intervient dans la formation de l’atmosphère et ordonne les corps selon leur densité.



Les vents de surface ne sont pas de manière remarquable sans des changements de pression qui peuvent venir des variations de chaleur dues à la régulation de notre atmosphère, à notre situation par rapport au Soleil, donc à l’équilibre des mouvements des astres et l’activité des sources de chaleur. Par exemple cela produit des phénomènes comme les cyclones et les alizés. Mais le vent dépend aussi du dégagement de gaz apporté par la combustion et la fermentation, sans oublier les explosions qui libèrent brusquement du gaz ou/et des particules énergétiques.



L'eau vient de l'équilibre du potentiel énergétique des astres qui forme les différents atomes et molécules ; mais de manière usuelle nous pouvons remarquer son dégagement gazeux condensable lors de combustions et surtout de celle issue des volcans. Aussi si nous pouvons constater sa présence sur Terre c’est dû à l’inertie de l’atmosphère qui l’empêche de se dissiper dans l’espace suivant le mouvement de rotation de la Terre sur elle-même ; ainsi il est possible de la trouver sous trois formes différentes qui sont la vapeur (nuages...), le liquide (pluies, lacs, rivières, mers...), et la glace (neige, grêle, banquise...). Pour ce qui est des courants liquides ils ont en partie les mêmes causes que les vents appliquées à l’élément liquide et peuvent être influencés par eux, aussi les raz-de-marée viennent des activités volcaniques et des déplacements des plaques, où il y a des phénomènes thermiques mais aussi ondulatoires [1] ; et il faut prendre en compte les variations du relief pour les écoulements fluviaux.

[1] : Aussi des ouragans suffisamment puissants peuvent être accompagnés d’une lame de fond d’une hauteur considérable.



La foudre est issue de la formation de flux concentrés de particules, qui sont celles des deux premiers éléments secondaires, dans lesquelles se trouvent de celles qui forment la lumière ; ces flux sont appelés courants électriques, ici ils se forment dans l’air où ils se font un chemin au travers de l’humidité. Pour ceci il faut donc suffisamment de particules pour former ces flux, ce à quoi la chaleur peut contribuer, ensuite il faut l’atmosphère qui peut retenir l’eau et l’air, et enfin l’eau qui forme les nuages et l’humidité, qui catalysent les courants de particules de manière à les rendre électriques.



Enfin les organismes vivants ne sont pas sans la lumière, la chaleur, les différents composants minéraux et organiques qui forment le sol, aussi l’air donc l’atmosphère, et enfin l'eau. De plus il est possible de préciser que les animaux supérieurs ne soient pas sans les plantes qui assurent la présence d’oxygène, et celles-ci, si nous passons par un microscope, sans les micro-organismes unicellulaires tels que les protistes, qui sont issus de la formation de l’A.D.N. par les éléments qui viennent d’être cités.

mardi 17 mai 2011

Les éléments qui composent l’Energie

  L’Energie primaire peut être considérée comme le seul élément primaire, puis viennent logiquement, par l’action des attributs immuables que sont le mouvement, la fractalisation asymétrique [1], la résistance et l’équilibre, les trois éléments secondaires décrits à la base par René Descartes (cf. Le Monde), dont le premier est l’ensemble des particules malléables comme le quark produites pour nous par la fractalisation et possédant une capacité autonome de mouvement selon les caractéristiques de l’énergie ; le second l’ensemble des petites particules de forme stable comme l’électron venant pour nous de cycles de particules malléables ; et le troisième l’ensemble des particules qui forment la matière solide comme les atomes venant pour nous de cycles formés de particules inférieures, et les molécules venant d’interactions entre les atomes. Ensuite du mélange de ces trois éléments, en naissent d’autres qui sont les plus importants au sein de la Nature en tant que monde sensuel, et qui peuvent être désignés comme éléments tertiaires. Ceux-ci sont la lumière, la foudre, les volcans, les mouvements des plaques lithosphériques, la chaleur, les vents de surface qui vont avec l’atmosphère, la pesanteur, l’eau, les êtres vivants (plantes et animaux), la composition du sol, le Soleil et les autres astres.

[1] : L’Energie doit être considérée comme se fractalisant de manière asymétrique, ou il y a un autre attribut équivalent dans sa logique pour que le mouvement et l’équilibre puissent former des sous-ensembles et s’y appliquer, plutôt que de mouvoir une grosse masse homogène. Ce principe de fractalisation permettant la divisibilité partielle infinie de l’Energie, partielle car il n’y a pas de vide absolu spacieux entre les parties ; aussi on peut considérer que le degré de fractalité dépend de la concentration en énergie, ainsi plus elle est élevée plus il est faible, car le mouvement produisant la concentration compense la fractalisation.



  Il est possible de trouver des images de choses fractales, comme ici par exemple notre univers avec WMAP : http://www.google.fr/search?q=wmap&hl=fr&prmd=ivns&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=VxqkTYCFDoexhAfvz4HRCQ&sqi=2&ved=0CFAQsAQ&biw=894&bih=599

mardi 10 mai 2011

Introduction

  Pour bien aborder le système utilisé pour résoudre certains problèmes scientifiques, considérons le fait que nous sommes faits de la même substance que le tout infini qui nous entoure qui est Energie dans l’absolu, aussi elle a le pouvoir de s’agglutiner par équilibre en différentes particules pour former tous les atomes, qui forment les molécules, qui forment la matière en général ; ensuite par la complexification de l’assemblage énergétique se forme la vie organique qui se caractérise par rapport à la matière morte par un système autonome de multiplication.