mardi 12 juillet 2011

Article 7


  Le champ magnétique en tant que champ de force spécifique à l’aimant se dessine autour de lui dans sa forme habituelle, en parallélépipède, d’une manière particulière, qui est en papillon ; ce qui pourrait s’expliquer selon la théorie précédemment développée (voir article 6) par le fait que l’aimant selon une structuration géométrique et homogène, comme pour les cristaux habituels, développerait un ensemble de mouvements homogène et géométrique. Ainsi dans le cas de l’aimant suivant un axe de répartition les pores situés d’un côté auraient un pouvoir attractif venant de la dépression formée par l’accompagnement du mouvement interne en cyclone, qui entraînerait les particules des deux premiers éléments secondaires environnantes [1], et de l’autre côté aurait un pouvoir expulsif venant de la pression formée par le mouvement cyclonique sortant. Mais par équilibre les cyclones sortants seraient complémentaires d’entrées cycloniques, ainsi il serait normal qu’au niveau de l’axe de répartition considéré, se forme avec la plus grande simplicité des ponts entre les pores d’entrée et de sortie cycloniques ; ensuite pour la formation de ponts entre des pores plus éloignés, ceci se ferait par enchaînement logique, car d’un côté du cyclone sortant ou entrant se trouverait un espace libre venant de la courbure en pont du cyclone de même type à cet endroit, et de l’autre il y aurait la résistance et même la pression formée par un cyclone de même type non relié, sachant qu’il n’y aurait pas de fusion entre les cyclones du même côté de l’axe mentionné à cause du fait qu’ils auraient le même sens de rotation et ainsi se repousseraient ; selon quoi celui considéré serait poussé contre le pont formé précédemment, ainsi se courberait et formerait à son tour un pont en trouvant sur son trajet un cyclone complémentaire, mais plus les pores seraient éloignés plus la force du pont serait faible à cause de la dispersion du mouvement cyclonique. Enfin il viendrait logiquement que la complémentarité ou résistance, entre deux pôles d’aimants différents viendrait du type de cyclone rencontré, entrant ou sortant ; aussi il faudrait considérer que le contact entre deux aimants implique, relativement à l’ensemble des deux, que les cyclones aient un mouvement plus dense qu’avant le contact, par une plus grande concentration de particules selon la trajectoire qui leur serait offerte en résistant à leur mouvement droit, particules qui devraient parcourir une plus longue distance avant de pouvoir avoir la liberté d’une trajectoire plus droite, ce que l’expérience vérifie.

[1] : Lien pour les éléments qui composent l’énergie : http://conseil-cartesien.blogspot.com/2011/05/les-elements-qui-composent-lenergie.html