Le champ magnétique en tant
que champ de force spécifique à l’aimant se dessine autour de lui dans sa forme
habituelle, en parallélépipède, d’une manière particulière, qui est en
papillon ; ce qui pourrait s’expliquer selon la théorie précédemment
développée (voir article 6) par le fait que l’aimant selon une structuration
géométrique et homogène, comme pour les cristaux habituels, développerait un
ensemble de mouvements homogène et géométrique. Ainsi dans le cas de l’aimant
suivant un axe de répartition les pores situés d’un côté auraient un pouvoir
attractif venant de la dépression formée par l’accompagnement du mouvement
interne en cyclone, qui entraînerait les particules des deux premiers éléments
secondaires environnantes [1], et de l’autre côté aurait un pouvoir expulsif
venant de la pression formée par le mouvement cyclonique sortant. Mais par
équilibre les cyclones sortants seraient complémentaires d’entrées cycloniques,
ainsi il serait normal qu’au niveau de l’axe de répartition considéré, se forme
avec la plus grande simplicité des ponts entre les pores d’entrée et de sortie
cycloniques ; ensuite pour la formation de ponts entre des pores plus
éloignés, ceci se ferait par enchaînement logique, car d’un côté du cyclone
sortant ou entrant se trouverait un espace libre venant de la courbure en pont
du cyclone de même type à cet endroit, et de l’autre il y aurait la résistance
et même la pression formée par un cyclone de même type non relié, sachant qu’il
n’y aurait pas de fusion entre les cyclones du même côté de l’axe mentionné à
cause du fait qu’ils auraient le même sens de rotation et ainsi se
repousseraient ; selon quoi celui considéré serait poussé contre le pont
formé précédemment, ainsi se courberait et formerait à son tour un pont en
trouvant sur son trajet un cyclone complémentaire, mais plus les pores seraient
éloignés plus la force du pont serait faible à cause de la dispersion du
mouvement cyclonique. Enfin il viendrait logiquement que la complémentarité ou
résistance, entre deux pôles d’aimants différents viendrait du type de cyclone
rencontré, entrant ou sortant ; aussi il faudrait considérer que le
contact entre deux aimants implique, relativement à l’ensemble des deux, que
les cyclones aient un mouvement plus dense qu’avant le contact, par une plus
grande concentration de particules selon la trajectoire qui leur serait offerte
en résistant à leur mouvement droit, particules qui devraient parcourir une
plus longue distance avant de pouvoir avoir la liberté d’une trajectoire plus
droite, ce que l’expérience vérifie.
[1] : Lien pour les
éléments qui composent l’énergie : http://conseil-cartesien.blogspot.com/2011/05/les-elements-qui-composent-lenergie.html