mardi 10 mai 2011

Introduction

  Pour bien aborder le système utilisé pour résoudre certains problèmes scientifiques, considérons le fait que nous sommes faits de la même substance que le tout infini qui nous entoure qui est Energie dans l’absolu, aussi elle a le pouvoir de s’agglutiner par équilibre en différentes particules pour former tous les atomes, qui forment les molécules, qui forment la matière en général ; ensuite par la complexification de l’assemblage énergétique se forme la vie organique qui se caractérise par rapport à la matière morte par un système autonome de multiplication.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

J'aime vraiment votre article. J'ai essaye de trouver de nombreux en ligne et trouver le v?tre pour être la meilleure de toutes.

Mon francais n'est pas tres bon, je suis de l'Allemagne.

Mon blog:
Regroupement De Credit puis rachat de credit immobilier

Quentin Ruyant a dit…

Cette notion de substance me parait assez douteuse...

Serge Le Coz L'Eternel a dit…

En fait je connais très bien la notion de substance, et elle n’est pas douteuse ici, cependant je trouve vos trois petits points vraiment douteux car ils ne sont pas acceptables dans un procédé de conjectures et réfutations (cf. Karl R. Popper dans « Conjectures et réfutations ») ; parce qu’un ignorant en la matière pourrait très bien se permettre ce genre de remarque qui ne mène à rien.

Quentin Ruyant a dit…

Désolé pour mon commentaire un peu expéditif.

En fait ce qui me parait douteux (je devrais plutôt dire qui c'est une approche qui n'est pas la mienne) c'est de partir d'une métaphysique qu'on pose comme prémisse, ici celle de la substance, un peu comme si on avez accès naturellement, par l'usage de la raison, à un "point de vue de Dieu" sur le monde - le risque étant de trouver ce qu'on cherche, non pas parce que c'est "réel" mais parce qu'on l'a posé comme prémisse. Ainsi la notion de substance pourrait n'exister que comme concept, comme grille de lecture de la réalité, et aucune expérience ne pourra la remettre en question puisque c'est sur sa base qu'on fondera toute interprétation d'expérience.

Personnellement j'ai tendance à privilégier les approches phénoménologiques ou pragmatiques (et donc des métaphysiques de l'événement ou de l'expérience qui je trouve en découlent plus naturellement).

Serge Le Coz L'Eternel a dit…

En fait je ne fais que l’équivalent d’une déclaration de constantes pour un programme en informatique quand je fais cela, mais ici la présentation est un peu différente. Et ceci est plus clair si on considère qu’il y a différents types de système pour les fondements de la physique, tels des systèmes qui peuvent séparer le mouvement et la matière ou d’autres qui les unissent ; mais pour l’instant aucun n’a été déclaré comme étant le seul valable ou réel (et rien n’empêche d’en changer si cela est nécessaire), et je ne peux pas me passer de cette étape pour faire mon travail.