La pesanteur ne serait pas
sans un équilibre énergétique, aussi elle est considérée de force constante
suivant une même courbe géoïde gravimétrique, et posant que tout équilibre dans
la pratique est limité dans la durée, ceci implique qu’il soit entretenu ;
donc si je ne me trompe il ne faut pas penser que la force puisse exister sans
qu’il y ait de mouvement et qu’elle puisse ainsi en produire une quantité
variable [1]. Donc pour expliquer la pesanteur d’une manière rationnelle, nous
pourrions supposer qu’elle soit entretenue par des flux de particules des deux
premiers éléments secondaires [2] et surtout de malléables et des plus petites
en cycles qui ne produisent pas de chaleur de manière considérable (voir
article 2), qui s’appliqueraient de manière quasiment homogène à la superficie
d’un objet, tout en pénétrant aussi son intérieur par presque tous les pores,
ce qui diminuerait l’importance de la masse et de la superficie s’il est
possible de négliger la résistance de l’air ; à notre connaissance ces
flux ont deux sources principales en particules, et constantes qui sont la
lumière du soleil et le rayonnement de la Terre. Aussi la lumière pourrait tout
de même pénétrer l’atmosphère malgré la résistance à la rupture entre deux
couches (cf. atmosphère, article 8) car elle se présente en flux suffisamment
denses et rapides, pourtant ce serait cette même résistance qui ferait que ces
particules puissent nous pousser dessus, car quand elles seraient en
concentration moins dense que la lumière, malgré leur vitesse elles
rencontreraient une résistance qui les ferait tourner sur elles-mêmes ou en
cercle pouvant évoluer de manière hélicoïdale, et les ferait former des vents
par une réorientation en masse, mais aussi pousser les objets plus denses vers
le bas [3] par l’intermédiaire surtout des plus petites particules
cycliques secondaires ; cette poussée se formerait car le mouvement très rapide
des particules malléables et leur taille qui les laisse passer presque partout
les rendent plus propres à aller dans les couches supérieures (cf. atmosphère,
article 8). Ainsi les particules qui formeraient cette pesanteur seraient à la
base les particules primaires ou malléables obtenues par fractalisation, qui
sont douées d’un mouvement autonome et très rapide (cf. article 2) ; et
particulièrement celles qui se trouvent au niveau du corps et seraient en voie
suivant leur progression vers le haut et non vers la bas de prendre sa place
puis de passer au-dessus en transmettant le mouvement surtout par les plus
petites particules cycliques ; d’ailleurs le flux déjà orienté des particules
vers la possibilité de s’échapper par le haut oriente facilement celles qui
entrent et se diluent dans la couche où il agit, sachant comme énoncé
précédemment que ce flux est alimenté en particules par un flux venant de
dessous le sol par le rayonnement de la Terre, et qui périodiquement se trouve
renforcé par les particules venant du soleil qui sont arrêtées au sol et par
les nuages en partie et ont de même manière de la facilité à tendre vers le
haut, tout en entretenant une concentration constante dans certaines limites
car la résistance atmosphérique n’est pas impénétrable, aussi elle agit un peu
comme une soupape qui serait plus ou moins ouverte selon la pression.
[3] : La lumière
(sauf laser) n’opposerait pas de résistance considérable aux corps détectables
par les sens car pour agir ainsi sur ces corps il faudrait qu’elle passe par
l’intermédiaire des autres particules de l’atmosphère qui opposent plus de
résistance et dont il faudrait qu’elle détermine la trajectoire dans son sens sans
les disperser ; ainsi la conduction du mouvement dépendrait comme pour la
chaleur des particules mélangées avec un flux de particules malléables, car ce
serait surtout les plus petites particules cycliques, qui ne produisent pas de
chaleur de manière considérable, qui seraient efficaces pour transmettre le
mouvement car elles réagissent normalement mieux ; mais ces particules
seraient en concentration plus grande dans l’atmosphère que dans la lumière, de
par l’écartement qu’implique la concentration des particules malléables, selon
quoi le mouvement des particules malléables serait mieux conduit par
l’atmosphère ainsi composée que par la lumière, et quand la lumière s’y mélange
il est possible de supposer la présence de rayons de lumière, ce que au moins
la présence d’atomes rend inévitable de par leur résistance en masse au flux
lumineux. Au sujet du laser, l’action est surtout thermique, ce qui est
possible selon la proportion entre particules malléables et thermiques (mélange
forcé à la base), et même si la concentration des particules produisant la
chaleur n’a pas besoin d’être très élevée pour la rendre sensible, la
production d’un mouvement relativement faible est possible par leur action.
Enfin pour la fission d’un atome les particules malléables y étant tellement
concentrées, qu’au moment du phénomène elles se déploieraient en boule, qui
pour se diluer n’aurait pas d’autre possibilité que d’entraîner à son front
toutes les particules les plus propres à transmettre le mouvement et les
autres, car elles ne pourraient pas les éviter considérant l’absence de rayons
à la base et leur très forte densité.
Aussi la pesanteur est surtout
remarquable dans la couche d’inertie la plus proche de la Terre, ce qui
pourrait être dû au fait que la rupture entre cette couche et la suivante
serait plus grande qu’entre les autres de par une variation plus grande de la
vitesse angulaire, ce qui formerait une résistance plus forte au déplacement
des particules. Ainsi considérant les ruptures donc les résistances différentes
il est normal qu’il y ait une impression d’apesanteur relative dans certaines
couches entre la Terre et la Lune ; ce qui serait accentué par le fait que
plus la concentration énergétique formant les particules primaires est faible
plus le degré de fractalité est élevé [1], donc moins les particules résistent
au déplacement, de la même manière que quand la viscosité est moindre dans les
fluides habituels.
[1] : L’Energie
doit être considérée comme se fractalisant de manière asymétrique, ou il y a un
autre attribut équivalent dans sa logique pour que le mouvement et l’équilibre
puissent former des sous-ensembles et s’y appliquer, plutôt que de mouvoir une
grosse masse homogène. Ce principe de fractalisation permettant la divisibilité
partielle infinie de l’Energie, partielle car il n’y a pas de vide absolu
spacieux entre les parties ; aussi on peut considérer que le degré de
fractalité dépend de la concentration en énergie, ainsi plus elle est élevée
plus il est faible, car le mouvement produisant la concentration compense la
fractalisation.
Mais il reste quelque chose à
expliquer pour que ceci soit vraiment logique, car à une même altitude dans la
couche la plus proche du sol la pesanteur augmente en allant de l’équateur vers
le pôle Nord, bien que ce ne soit pas le cas en allant vers le pôle Sud (il y a plus d'irrégularités) ;
de même il peut sembler étrange que la pesanteur diminue quand l’altitude
augmente dans cette même couche, alors que les gaz les plus lourds, comme le CO2,
qui sont donc les plus proches du sol ont une portance plus grande comme l’eau
liquide par rapport à l’air, ce qui devrait proposer le phénomène inverse (si
nous nous référons aux conditions de l’expérience de von Jolly). Ainsi il faut
donc prendre en compte un nouveau facteur qui est la composition du sol, et ici
nous pouvons considérer une matière noire ayant un pouvoir attractif, qui est
la magnétite ou l’aimant minéral, et qui comme son nom l’indique forme un champ
magnétique [1] en créant un flux avec les particules des deux premiers éléments
secondaires et surtout les plus petites ; aussi le flux qu’elle formerait
ici serait assez faible comme le montrent les boussoles, et ne créerait
pas sensiblement de chaleur car surtout les petites particules du second
élément secondaire y participeraient (voir article 2), mais il augmenterait
tout de même la quantité des particules servant à la pesanteur dans les zones
géographiques où se trouverait de la magnétite en plus forte concentration, en
considérant qu’il s’en trouve un peu partout dans la croûte [2] ; ce qui
pourrait expliquer ces variations au niveau du sol.
D’ailleurs ce système de
pesanteur serait propice à expliquer le phénomène des aurores boréales, car
quand la concentration en particules du premier élément secondaire serait
assez élevée (voir article 2), il serait normal qu’il se produise des
phénomènes lumineux ; ce qui arriverait plus facilement à proximité du
pôle Nord magnétique car ces particules seraient plus concentrées grâce au
champ magnétique (plus de magnétite qui oriente le champ magnétique à d’autres
endroits)[1].
[1] : Aussi le
mouvement sous la croûte terrestre de la masse de fer en fusion pourrait
produire un courant pouvant participer au champ magnétique (cf. théorie de
l’effet dynamo).
[2] : Considérant
qu’il y a toujours une possible production de magnétite sous la croûte.
Autrement au sujet du rôle de
particules telles que celles d’un champ magnétique dans le procédé de la
gravité, il est possible de consulter le cas de la souris en lévitation
magnétique avec une étude de la NASA en rapport avec la gravité (ou de la grenouille
par A. Geim (prix Nobel) et M. Berry), ici le champ magnétique est suffisamment
plus élevé que le rayonnement de la Terre (qui n’est pas local), mais aussi que
la gravité, ce qui donne l’effet d’une poussée locale sur un être vivant
effectuée par des particules du même type que celles considérées ici pour la
gravité, ce qui se rapproche des pinces optiques relativement à des petites
choses (voir fin article 6 au sujet de l’aimant). Enfin les particules ici
considérées pour le champ magnétique général de la Terre viennent d’un champ
magnétique assez faible et interviendraient par dispersion des particules
participant au champ magnétique (se libérant pour la participation à la
gravité), et possiblement par poussée, ceci surtout aux pôles, car le champ
magnétique est vertical aux pôles (donc poussée vers le haut ou le bas dans le
champ).
Enfin trouvez des précisions
en commentaire ci-dessous.
Mise à jour du 21/11/11 : Au sujet de l’expérience de Cavendish,
elle est faite avec des masses de plomb ; mais considérant ma théorie de
l’aimant (cf. article 6), il ne faut pas omettre l’émission des atomes et
l’organisation de cette émission, ainsi même si le plomb ne réagit pas comme le
fer à l’émission du flux d’un aimant, l’organisation propre du sien, n’empêche
pas qu’il puisse posséder une interaction particulière, avec une
complémentarité différente entre les pores (cf. article 7). Ainsi l’interaction
entre les sphères de plomb ne serait pas due à l’attraction venant de la
gravitation universelle, mais à un champ de force spécifique (ce qui n’a rien
de bizarre et est même plus rationnel).
Mise à jour du 23/03/12 : Pas de string balls et
toujours pas de trous noirs produits avec le LHC, selon les résultats de 2011 (ce
qui n’est pas bon pour la théorie actuelle de la gravitation). Voir cette
parution : http://arxiv.org/pdf/1202.6396.pdf
Mise à jour du 15/03/13 : Dans le document à
l’adresse qui suit est présentée la recherche de larges extra dimensions,
gravitons, troues noirs microscopiques, « long-lived » particules,
matière noire, et leptoquarks. Aussi aucun signe de l’existence de ces
phénomènes physiques n’a été détecté.
En plus je tiens à préciser que mon travail
n’est pas concerné par ce qui est considéré dans cette publication (pour
l’instant tout va bien pour lui), par exemple au sujet des « Long-Lived
Neutral Particles » et il est possible de le vérifier si vous le souhaitez
en suivant les références présentes dans ce document.
Document :
Autrement il y a aussi une publication au
sujet de l’absence de production de string balls et de troues noirs au LHC,
selon les données de 2012 et avec une meilleure sensibilité qu’en 2011. Voir
cette parution : http://cds.cern.ch/record/1460444?ln=en