La validité d’un travail comme le mien devant
être testée, j’ai fait l’effort de noter certaines choses que j’ai placées parmi
mes mises à jour à la fin de certaines publications. Aussi je dois avouer que
je suis plutôt fier de ce que j’ai noté dans l’article 8 et qui est en rapport
avec le 9 (sans considérer le grand nombre de données à analyser), car une
nouvelle théorie doit être un meilleur outil de réflexion (plus logique) pour
être valide, mais ainsi elle suit aussi le sens de la vérité, et quand elle la
rencontre c’est vraiment un aboutissement (et oui, la pensée est un véritable
atout de prévision). Mais les autres mises à jour ne doivent pas être
négligées.
Sciences et recherche avec Serge LE COZ
mardi 2 avril 2013
mercredi 11 janvier 2012
Mises à jour
Il est possible de trouver des mises à jour à
la fin de certaines publications faites sur ce blog.
mardi 16 août 2011
Pourquoi normalement les hommes intelligents veulent avoir ce qu’ils méritent
Quand on lit Charles Sanders
Peirce, il apparaît que l’instinct est une chose importante. Et si nous
considérons la reproduction et des animaux comme l’écureuil roux, il vient que
l’abondance est un élément important pour la reproduction ; ceci car
instinctivement quand il n’y a pas assez d’éléments d’abondance comme la
nourriture, la femelle rejette le mâle. Ainsi le sentiment de profusion semble
déclencher le désir de se reproduire, et il semble aussi que cela fonctionne
avec les femmes, ainsi ceci est juste instinctif et elles ne sont pas mauvaises
car elles préfèrent les hommes avec une bonne quantité de richesses. Donc si
nous considérons le fait que les meilleures femmes vont aller préférablement
avec les hommes qui ont assez de richesse, les hommes qui sont les plus
importants pour le bien-être d’un pays auront besoin d’avoir suffisamment de
richesse pour avoir les femmes qui leur correspondent. Et ici nous avons besoin
de considérer que si les hommes intelligents n’ont pas les bonnes femmes, ils
risqueront plus d’avoir des enfants qui ne sont pas comme eux et plus comme des
ouvriers par exemple. Enfin si l’instinct semble inévitable, après plusieurs
siècles d’observation du comportement humain, certains excès peuvent être
évités et prévenus par la pensée et les conseils en venant.
P.-S. : Aussi l’article 6 de la déclaration des droits de l’homme
de 1789 va dans ce sens, considérant les vertus et talents. Même si l’histoire
nous apprend qu’une révolution avec le peuple n’est pas la meilleure chose pour
arranger les problèmes des gens intelligents ; mais la république est une
bonne chose.
P.-S. 2 : Autrement je préfère ajouter qu’il semble que passé un certain niveau de richesse, l’importance de celle-ci diminue (il peut donc être mieux de donner la priorité à autre chose après une certaine limite).
mardi 9 août 2011
Théories
Pour conclure il est bon de noter que la
théorie en tant que construction intellectuelle a priori fait regarder le monde
d’une manière différente et ainsi pousse à certaines inventions physiques qui
font évoluer notre manière de vivre, en nous assurant une puissance propre à
nous apporter la paix autant que nos théories sont les meilleures ; selon
quoi il faut évidemment chercher car ce n’est pas en attendant que de nouvelles
idées viennent affronter nos cinq sens que nous allons être à l’abri ; il
faut aller méthodiquement donc intelligemment et si possible sans trop
s’éloigner du sens commun à la recherche de ces idées, qui au début
catalyseront au moins notre interprétation ; ainsi nous pouvons constater
que l’héliocentrisme avait été considéré sérieusement par l’esprit d’Aristarque
de Samos et plus certainement encore par celui de Copernic, avant que le
télescope puisse apporter suffisamment de preuves sensuelles au reste du monde
par l’intermédiaire de Galilée, comme quoi la preuve sensuelle n’est pas
indispensable à la vérité, même si elle la confirme et qu’il vaut mieux ne pas
prendre trop de risques. L’erreur reste véritable pour la pensée humaine mais
au moins celles dont nous avons pris conscience deviennent autant de points de
repère pour nous montrer le chemin de la vérité. Aussi pour juger une œuvre il
faut la connaître entièrement (pour la partie scientifique de mon travail ce
qui est présent devrait suffire dans un premier temps), ensuite il faut savoir
faire la part des choses et ne pas jeter le tout quand seulement une partie est
mauvaise (jusqu’à maintenant les corrections sont dues à mon propre jugement,
mon travail a donc résisté à la critique), ce qui décourage à faire des
hypothèses, alors que c’est bien ainsi qu’avance l’humanité, de par cette
possibilité de progresser à l’aveuglette vers les vérités. Evidemment ceci nous
soumet plus à l’erreur, mais il vaut mieux faire des erreurs et avancer que de
ne pas en faire et rester plus loin de la vérité ; car avoir l’ambition de
connaître ce qui ne finit pas et nous renforce toujours, nous pousse à aller de
l’avant que ce soit directement ou par l’intermédiaire d’autres plus qualifiés
pour découvrir les choses (donc surtout de ceux qui trouvent de bonnes idées),
et à qui il faut donc donner l’opportunité de réfléchir dans les meilleures
conditions possibles.
mardi 2 août 2011
Article 10
L'eau vient de l'équilibre du
potentiel énergétique des astres qui forme les différents atomes et molécules,
et de manière usuelle nous pouvons remarquer son dégagement gazeux condensable
lors de combustions et surtout de celle issue des volcans. Aussi si nous
pouvons constater sa présence sur Terre c’est dû à l’atmosphère, et à la
pesanteur et l’inertie qui s’y trouvent et qui la retiennent ; ainsi il est
possible de la trouver sous trois formes différentes qui sont la vapeur
(nuages...), le liquide (pluies, lacs, rivières, mers...), et la glace (neige,
grêle, banquise...). Pour ce qui est des courants liquides ils ont en partie
les mêmes causes que les vents appliquées à l’élément liquide et peuvent être
influencés par eux, aussi les raz-de-marée viennent des activités volcaniques
et des déplacements des plaques, où il y a des phénomènes thermiques mais aussi
ondulatoires [1] ; et il faut prendre en compte les variations du relief
pour les écoulements fluviaux.
Autrement nous pouvons penser
que le mouvement en marées vienne d’une interaction entre le ciel terrestre et
celui de la Lune, d’où en première hypothèse nous pouvons avancer (dans le
cadre de l’hypothèse de Descartes à ce sujet (cf. Le Monde))…
Le reste de cet article qui a été
amélioré ne peut pas être publié ici.
[1] : Aussi des
ouragans suffisamment puissants peuvent être accompagnés d’une lame de fond
d’une hauteur considérable.
mardi 26 juillet 2011
Article 9
La pesanteur ne serait pas
sans un équilibre énergétique, aussi elle est considérée de force constante
suivant une même courbe géoïde gravimétrique, et posant que tout équilibre dans
la pratique est limité dans la durée, ceci implique qu’il soit entretenu ;
donc si je ne me trompe il ne faut pas penser que la force puisse exister sans
qu’il y ait de mouvement et qu’elle puisse ainsi en produire une quantité
variable [1]. Donc pour expliquer la pesanteur d’une manière rationnelle, nous
pourrions supposer qu’elle soit entretenue par des flux de particules des deux
premiers éléments secondaires [2] et surtout de malléables et des plus petites
en cycles qui ne produisent pas de chaleur de manière considérable (voir
article 2), qui s’appliqueraient de manière quasiment homogène à la superficie
d’un objet, tout en pénétrant aussi son intérieur par presque tous les pores,
ce qui diminuerait l’importance de la masse et de la superficie s’il est
possible de négliger la résistance de l’air ; à notre connaissance ces
flux ont deux sources principales en particules, et constantes qui sont la
lumière du soleil et le rayonnement de la Terre. Aussi la lumière pourrait tout
de même pénétrer l’atmosphère malgré la résistance à la rupture entre deux
couches (cf. atmosphère, article 8) car elle se présente en flux suffisamment
denses et rapides, pourtant ce serait cette même résistance qui ferait que ces
particules puissent nous pousser dessus, car quand elles seraient en
concentration moins dense que la lumière, malgré leur vitesse elles
rencontreraient une résistance qui les ferait tourner sur elles-mêmes ou en
cercle pouvant évoluer de manière hélicoïdale, et les ferait former des vents
par une réorientation en masse, mais aussi pousser les objets plus denses vers
le bas [3] par l’intermédiaire surtout des plus petites particules
cycliques secondaires ; cette poussée se formerait car le mouvement très rapide
des particules malléables et leur taille qui les laisse passer presque partout
les rendent plus propres à aller dans les couches supérieures (cf. atmosphère,
article 8). Ainsi les particules qui formeraient cette pesanteur seraient à la
base les particules primaires ou malléables obtenues par fractalisation, qui
sont douées d’un mouvement autonome et très rapide (cf. article 2) ; et
particulièrement celles qui se trouvent au niveau du corps et seraient en voie
suivant leur progression vers le haut et non vers la bas de prendre sa place
puis de passer au-dessus en transmettant le mouvement surtout par les plus
petites particules cycliques ; d’ailleurs le flux déjà orienté des particules
vers la possibilité de s’échapper par le haut oriente facilement celles qui
entrent et se diluent dans la couche où il agit, sachant comme énoncé
précédemment que ce flux est alimenté en particules par un flux venant de
dessous le sol par le rayonnement de la Terre, et qui périodiquement se trouve
renforcé par les particules venant du soleil qui sont arrêtées au sol et par
les nuages en partie et ont de même manière de la facilité à tendre vers le
haut, tout en entretenant une concentration constante dans certaines limites
car la résistance atmosphérique n’est pas impénétrable, aussi elle agit un peu
comme une soupape qui serait plus ou moins ouverte selon la pression.
[1] : Lien vers un
texte sur Newton : http://conseil-cartesien.blogspot.com/2011/06/newton-dans-conjectures-et-refutations.html
[2] :
Lien pour les éléments qui composent l’énergie : http://conseil-cartesien.blogspot.com/2011/05/les-elements-qui-composent-lenergie.html
[3] : La lumière
(sauf laser) n’opposerait pas de résistance considérable aux corps détectables
par les sens car pour agir ainsi sur ces corps il faudrait qu’elle passe par
l’intermédiaire des autres particules de l’atmosphère qui opposent plus de
résistance et dont il faudrait qu’elle détermine la trajectoire dans son sens sans
les disperser ; ainsi la conduction du mouvement dépendrait comme pour la
chaleur des particules mélangées avec un flux de particules malléables, car ce
serait surtout les plus petites particules cycliques, qui ne produisent pas de
chaleur de manière considérable, qui seraient efficaces pour transmettre le
mouvement car elles réagissent normalement mieux ; mais ces particules
seraient en concentration plus grande dans l’atmosphère que dans la lumière, de
par l’écartement qu’implique la concentration des particules malléables, selon
quoi le mouvement des particules malléables serait mieux conduit par
l’atmosphère ainsi composée que par la lumière, et quand la lumière s’y mélange
il est possible de supposer la présence de rayons de lumière, ce que au moins
la présence d’atomes rend inévitable de par leur résistance en masse au flux
lumineux. Au sujet du laser, l’action est surtout thermique, ce qui est
possible selon la proportion entre particules malléables et thermiques (mélange
forcé à la base), et même si la concentration des particules produisant la
chaleur n’a pas besoin d’être très élevée pour la rendre sensible, la
production d’un mouvement relativement faible est possible par leur action.
Enfin pour la fission d’un atome les particules malléables y étant tellement
concentrées, qu’au moment du phénomène elles se déploieraient en boule, qui
pour se diluer n’aurait pas d’autre possibilité que d’entraîner à son front
toutes les particules les plus propres à transmettre le mouvement et les
autres, car elles ne pourraient pas les éviter considérant l’absence de rayons
à la base et leur très forte densité.
Aussi la pesanteur est surtout
remarquable dans la couche d’inertie la plus proche de la Terre, ce qui
pourrait être dû au fait que la rupture entre cette couche et la suivante
serait plus grande qu’entre les autres de par une variation plus grande de la
vitesse angulaire, ce qui formerait une résistance plus forte au déplacement
des particules. Ainsi considérant les ruptures donc les résistances différentes
il est normal qu’il y ait une impression d’apesanteur relative dans certaines
couches entre la Terre et la Lune ; ce qui serait accentué par le fait que
plus la concentration énergétique formant les particules primaires est faible
plus le degré de fractalité est élevé [1], donc moins les particules résistent
au déplacement, de la même manière que quand la viscosité est moindre dans les
fluides habituels.
[1] : L’Energie
doit être considérée comme se fractalisant de manière asymétrique, ou il y a un
autre attribut équivalent dans sa logique pour que le mouvement et l’équilibre
puissent former des sous-ensembles et s’y appliquer, plutôt que de mouvoir une
grosse masse homogène. Ce principe de fractalisation permettant la divisibilité
partielle infinie de l’Energie, partielle car il n’y a pas de vide absolu
spacieux entre les parties ; aussi on peut considérer que le degré de
fractalité dépend de la concentration en énergie, ainsi plus elle est élevée
plus il est faible, car le mouvement produisant la concentration compense la
fractalisation.
Mais il reste quelque chose à
expliquer pour que ceci soit vraiment logique, car à une même altitude dans la
couche la plus proche du sol la pesanteur augmente en allant de l’équateur vers
le pôle Nord, bien que ce ne soit pas le cas en allant vers le pôle Sud (il y a plus d'irrégularités) ;
de même il peut sembler étrange que la pesanteur diminue quand l’altitude
augmente dans cette même couche, alors que les gaz les plus lourds, comme le CO2,
qui sont donc les plus proches du sol ont une portance plus grande comme l’eau
liquide par rapport à l’air, ce qui devrait proposer le phénomène inverse (si
nous nous référons aux conditions de l’expérience de von Jolly). Ainsi il faut
donc prendre en compte un nouveau facteur qui est la composition du sol, et ici
nous pouvons considérer une matière noire ayant un pouvoir attractif, qui est
la magnétite ou l’aimant minéral, et qui comme son nom l’indique forme un champ
magnétique [1] en créant un flux avec les particules des deux premiers éléments
secondaires et surtout les plus petites ; aussi le flux qu’elle formerait
ici serait assez faible comme le montrent les boussoles, et ne créerait
pas sensiblement de chaleur car surtout les petites particules du second
élément secondaire y participeraient (voir article 2), mais il augmenterait
tout de même la quantité des particules servant à la pesanteur dans les zones
géographiques où se trouverait de la magnétite en plus forte concentration, en
considérant qu’il s’en trouve un peu partout dans la croûte [2] ; ce qui
pourrait expliquer ces variations au niveau du sol.
D’ailleurs ce système de
pesanteur serait propice à expliquer le phénomène des aurores boréales, car
quand la concentration en particules du premier élément secondaire serait
assez élevée (voir article 2), il serait normal qu’il se produise des
phénomènes lumineux ; ce qui arriverait plus facilement à proximité du
pôle Nord magnétique car ces particules seraient plus concentrées grâce au
champ magnétique (plus de magnétite qui oriente le champ magnétique à d’autres
endroits)[1].
[1] : Aussi le
mouvement sous la croûte terrestre de la masse de fer en fusion pourrait
produire un courant pouvant participer au champ magnétique (cf. théorie de
l’effet dynamo).
[2] : Considérant
qu’il y a toujours une possible production de magnétite sous la croûte.
Autrement au sujet du rôle de
particules telles que celles d’un champ magnétique dans le procédé de la
gravité, il est possible de consulter le cas de la souris en lévitation
magnétique avec une étude de la NASA en rapport avec la gravité (ou de la grenouille
par A. Geim (prix Nobel) et M. Berry), ici le champ magnétique est suffisamment
plus élevé que le rayonnement de la Terre (qui n’est pas local), mais aussi que
la gravité, ce qui donne l’effet d’une poussée locale sur un être vivant
effectuée par des particules du même type que celles considérées ici pour la
gravité, ce qui se rapproche des pinces optiques relativement à des petites
choses (voir fin article 6 au sujet de l’aimant). Enfin les particules ici
considérées pour le champ magnétique général de la Terre viennent d’un champ
magnétique assez faible et interviendraient par dispersion des particules
participant au champ magnétique (se libérant pour la participation à la
gravité), et possiblement par poussée, ceci surtout aux pôles, car le champ
magnétique est vertical aux pôles (donc poussée vers le haut ou le bas dans le
champ).
En outre pour ce qui est de la
crédibilité des trous noirs, il est possible de lire ceci : http://www.nature.com/news/2010/101214/full/468876a.html
Enfin trouvez des précisions
en commentaire ci-dessous.
Autrement il y a aussi une publication au
sujet de l’absence de production de string balls et de troues noirs au LHC,
selon les données de 2012 et avec une meilleure sensibilité qu’en 2011. Voir
cette parution : http://cds.cern.ch/record/1460444?ln=en
mardi 12 juillet 2011
Article 7
Le champ magnétique en tant
que champ de force spécifique à l’aimant se dessine autour de lui dans sa forme
habituelle, en parallélépipède, d’une manière particulière, qui est en
papillon ; ce qui pourrait s’expliquer selon la théorie précédemment
développée (voir article 6) par le fait que l’aimant selon une structuration
géométrique et homogène, comme pour les cristaux habituels, développerait un
ensemble de mouvements homogène et géométrique. Ainsi dans le cas de l’aimant
suivant un axe de répartition les pores situés d’un côté auraient un pouvoir
attractif venant de la dépression formée par l’accompagnement du mouvement
interne en cyclone, qui entraînerait les particules des deux premiers éléments
secondaires environnantes [1], et de l’autre côté aurait un pouvoir expulsif
venant de la pression formée par le mouvement cyclonique sortant. Mais par
équilibre les cyclones sortants seraient complémentaires d’entrées cycloniques,
ainsi il serait normal qu’au niveau de l’axe de répartition considéré, se forme
avec la plus grande simplicité des ponts entre les pores d’entrée et de sortie
cycloniques ; ensuite pour la formation de ponts entre des pores plus
éloignés, ceci se ferait par enchaînement logique, car d’un côté du cyclone
sortant ou entrant se trouverait un espace libre venant de la courbure en pont
du cyclone de même type à cet endroit, et de l’autre il y aurait la résistance
et même la pression formée par un cyclone de même type non relié, sachant qu’il
n’y aurait pas de fusion entre les cyclones du même côté de l’axe mentionné à
cause du fait qu’ils auraient le même sens de rotation et ainsi se
repousseraient ; selon quoi celui considéré serait poussé contre le pont
formé précédemment, ainsi se courberait et formerait à son tour un pont en
trouvant sur son trajet un cyclone complémentaire, mais plus les pores seraient
éloignés plus la force du pont serait faible à cause de la dispersion du
mouvement cyclonique. Enfin il viendrait logiquement que la complémentarité ou
résistance, entre deux pôles d’aimants différents viendrait du type de cyclone
rencontré, entrant ou sortant ; aussi il faudrait considérer que le
contact entre deux aimants implique, relativement à l’ensemble des deux, que
les cyclones aient un mouvement plus dense qu’avant le contact, par une plus
grande concentration de particules selon la trajectoire qui leur serait offerte
en résistant à leur mouvement droit, particules qui devraient parcourir une
plus longue distance avant de pouvoir avoir la liberté d’une trajectoire plus
droite, ce que l’expérience vérifie.
[1] : Lien pour les
éléments qui composent l’énergie : http://conseil-cartesien.blogspot.com/2011/05/les-elements-qui-composent-lenergie.html
mardi 28 juin 2011
Articles 4 et 5
Article 4 :
La radioactivité non artificielle concerne les atomes lourds et si on considère une grande densité, qui contiendraient plus de particules en mouvement ou/et des particules ayant un degré de fractalité [1] moindre, ce qui impliquerait que par dégradation des équilibres les composant, ils pourraient émettre des flux de radiations très forts et pénétrants.
[1] : L’Energie doit être considérée comme se fractalisant de manière asymétrique, ou il y a un autre attribut équivalent dans sa logique pour que le mouvement et l’équilibre puissent former des sous-ensembles et s’y appliquer, plutôt que de mouvoir une grosse masse homogène. Ce principe de fractalisation permettant la divisibilité partielle infinie de l’Energie, partielle car il n’y a pas de vide absolu spacieux entre les parties ; aussi on peut considérer que le degré de fractalité dépend de la concentration en énergie, ainsi plus elle est élevée plus il est faible, car le mouvement produisant la concentration compense la fractalisation.
Article 5 :
La piézo-électricité viendrait du fait que les flux, issus de la décomposition des équilibres d’un assemblage moléculaire en cristaux, seraient distribués selon un réseau qui soumis à une pression les concentrerait de manière à devenir électriques ; ce que la contrainte subie par les atomes pourrait accentuer relativement à l’émission des noyaux.
jeudi 16 juin 2011
Science et mécanique quantique
Ici vont se trouver des extraits de « La partie et le tout » de Werner Heisenberg (prix Nobel).
Heisenberg : « Peut-être était-il possible de diviser indéfiniment la matière, à ceci près qu’à la fin il ne s’agirait plus vraiment d’une division, mais d’une transformation d’énergie en matière… » (Cf. la partie : « Discussion sur le langage »)
Pour la structure de l’atome (relativement à celle que je vais proposer dans la prochaine publication sur le blog, c'était l'article 3, mais pour éviter le plagiat sachant que mon travail a résisté à la critique, j'ai enlevé des articles, aussi pour lire les articles manquants, voir ici : https://conseil-cartesien.blogspot.com/2022/11/comme-un-livre.html ) :
Heisenberg : « Or, s’il existe une trajectoire de l’électron dans une chambre de Wilson, il doit bien en exister une également à l’intérieur de l’atome. Mais j’avoue avoir déjà eu des doutes à ce sujet. Car s’il est vrai que nous calculons une orbite électronique selon la mécanique newtonienne classique, nous lui conférons ensuite, à l’aide des conditions quantiques, une stabilité qu’elle ne devrait jamais posséder en vertu de cette même mécanique newtonienne ; et lorsque l’électron saute (dans le cas d’émission de rayonnement) d’une orbite à l’autre, nous préférons ne rien dire au sujet de ce saut : est-ce un saut en longueur, un saut en hauteur ou quoi d’autre ? Donc, dans un certain sens, toute l’idée que nous nous faisons de l’orbite d’un électron à l’intérieur de l’atome doit être absurde. Mais alors, quoi ? » (Cf. la partie : « La notion de “comprendre" dans la physique »)
Wolfgang (Pauli) approuva. «Tout cela est vraiment extrêmement mystérieux. S’il existe une orbite de l’électron à l’intérieur de l’atome, l’électron doit manifestement tourner sur cette orbite de manière périodique, avec une fréquence déterminée. Dans ce cas, les lois de l’électrodynamique exigent que les oscillations électriques émanent de la charge effectuant ce mouvement périodique. Autrement dit, de la lumière doit être rayonnée avec la même fréquence. Mais, en réalité, il n’en est pas du tout ainsi : la fréquence d’oscillation de la lumière rayonnée se situe en fait entre la fréquence d’orbite qui précède le fameux saut si mystérieux, et celle qui le suit. Tout cela est au fond pure folie. » (Cf. la partie : « La notion de “comprendre" dans la physique »)
Wolfgang : « … ; quant à nous deux, en toute honnêteté, nous ne croyons même pas aux orbites électroniques… » (Cf. la même partie)
Heisenberg : «…Bohr doit savoir, lui aussi, qu’il part d’hypothèses qui contiennent des contradictions, qui ne peuvent donc pas être justes sous la forme considérée… » (Cf. la même partie)
Niels Bohr, prix Nobel de physique, et créateur du modèle actuel de l’atome : « Par stabilité, j’entends que ce sont toujours les mêmes substances, avec les mêmes propriétés, qui apparaissent… Ceci est incompréhensible selon la mécanique classique, surtout si l’on admet que l’atome ressemble à un système planétaire. » (Cf. la même partie)
Il ajoute un peu plus loin : « Ces images (d’atomes), répondit Bohr, ont été déduites ou plutôt si vous préférez, “devinées“ à partir de faits expérimentaux ; elles ne sont pas le fruit de quelconques calculs théoriques. J’espère que ces images décrivent la structure des atomes aussi bien (mais seulement aussi bien) que possible dans le langage visuel de la physique classique… »
« Mais comment sera-t-il possible, dans ces conditions, de faire des progrès ? En fin de compte, la physique ne doit-elle pas être une science exacte ? » (Cf. la même partie)
« Nous devons nous attendre, dit Bohr, à ce que les paradoxes de la théorie quantique, les aspects incompréhensibles liés à la stabilité de la matière, s’éclairent de façon toujours plus nette avec chaque fait expérimental nouveau. S’il en est ainsi, nous pouvons espérer qu’au cours du temps de nouveaux concepts se formeront, et que ces nouveaux concepts nous permettront de saisir d’une certaine manière même les processus non visuels se déroulant dans l’atome. Mais, de cela, nous en sommes encore très loin. » (Cf. la même partie)
mardi 14 juin 2011
Article 2
La lumière logiquement proviendrait de la concentration des particules malléables se mouvant ensemble [1] ou plutôt de leur type si nous considérons le degré de fractalité [2], et elle pourrait être accompagnée plus ou moins de chaleur en fonction de la quantité et de la taille de particules suffisamment libres du second élément secondaire qu’elle transporte [3] ; en plus pour le déplacement lumineux rappelons que les particules primaires ou malléables obtenues directement par la fractalisation de l’Energie possèdent un mouvement autonome [2] et très rapide [4] de par les attributs énergétiques, aussi à une concentration d’énergie suffisante, dans un même sens elles peuvent entraîner les particules formées par des cycles de ces mêmes particules primaires, selon quoi elles sont à la base de tous les mouvements (dans le cas de la lumière cf. article 9 à venir). Autrement nous pourrions penser que, par l’influence du mouvement majoritaire dépendant de la répartition de la masse énergétique donc de la forme, le mouvement dans la particule malléable pourrait s’orienter de manière uniforme.
Mais pour nos sens la lumière possède différentes sources directes qui peuvent être des réactions chimiques, comme la combustion, aussi celle produite par les lucioles, et celle correspondant aux fusions ou explosions nucléaires ; mais peut aussi être l'électroluminescence produite par exemple par la foudre. D’ailleurs nous pouvons noter que la manifestation lumineuse prouve bien ici (dans ce système) que l’énergie est la même au niveau des électrons avec l’électroluminescence durant laquelle ils cohabitent en forte concentration avec la lumière, et au sein du noyau avec la lumière et non son absorption obtenue en l’ouvrant. De plus comme il a été remarqué dans l’article 1 la négativité peut être acceptée en tant qu’elle représente un manque, mais il devrait forcément chercher à se compenser, ce qui ne s’observe pas ici. Aussi si la recherche d’absorption était un phénomène présent pour chaque morceau de matière et proportionnel à sa densité [5], pourquoi au niveau planétaire les plus grosses parties seraient plus facilement attirées entre elles ? Alors qu’ainsi elles devraient se proposer plus d’interaction comme les parties identiques des aimants, et donc laisser entre elles les petites parties moins denses, donc d’attraction inférieure ; pourtant la flamme monte et il n’y a pas d’espace entre une pierre et le sol, au repos.
[1] : Les couleurs pouvant venir de différents degrés de concentration. \ [2] : L’Energie doit être considérée comme se fractalisant de manière asymétrique, ou il y a un autre attribut équivalent dans sa logique pour que le mouvement et l’équilibre puissent former des sous-ensembles et s’y appliquer, plutôt que de mouvoir une grosse masse homogène. Ce principe de fractalisation permettant la divisibilité partielle infinie de l’Energie, partielle car il n’y a pas de vide absolu spacieux entre les parties ; aussi on peut considérer que le degré de fractalité dépend de la concentration en énergie, ainsi plus elle est élevée plus il est faible, car le mouvement produisant la concentration compense la fractalisation. \ [3] : Cf. une publication précédente : « Les éléments qui composent l’Energie » : http://conseil-cartesien.blogspot.com/2011/05/les-elements-qui-composent-lenergie.html . \ [4] : L’Energie est aussi infiniment puissante de par ses possibilités. Ainsi l’Energie s’exprime par l’infinie puissance de son mouvement et de son équilibre suivant les affinités ou résistances des choses ou équilibres les uns par rapport aux autres.\ [5] Voir sur le blog la dernière publication (sur Newton).
jeudi 9 juin 2011
Newton dans “Conjectures et réfutations”, chapitre 3, partie 3, par Karl R. Popper
Au sujet de Newton :
« …Cela explique qu’il ait très vivement ressenti le caractère inachevé de sa théorie ainsi que la nécessité de rendre compte de la gravité. « Que la gravité, écrit Newton (Voir la lettre à Richard Bentley, 25 février 1692-3 (c’est-à-dire 1693) ; cf. également la lettre du 17 janvier.), soit innée, inhérente et essentielle à la matière, de telle façon qu’un corps puisse agir sur un autre à distance […] est pour moi une absurdité si grande que je crois qu’aucun homme tant soit peu compétent en matière de philosophie ne pourra jamais tomber dans cette erreur. » »
Un peu plus loin :
« Pourtant, Newton était lui-même essentialiste. Il avait consacré d’importants efforts à rechercher une explication ultime de la gravité qui soit acceptable en essayant de déduire la loi de l’attraction de l’hypothèse d’une poussée d’ordre mécanique, seul type d’attraction causale admis par Descartes puisque le seul à pouvoir être expliqué par la propriété essentielle de tout les corps, l’étendue. Mais il n’y est pas parvenu. Et nous pouvons être assurés que s’il avait réussi, il eût estimé que son problème avait reçu sa solution dernière et qu’il avait trouvé l’explication ultime de la gravité… »
Mais il est vrai que de penser à différentes manières d’expliquer la gravité (comme le fait qu’elle soit innée, inhérente et essentielle à la matière) peut aider à avoir de bonnes idées au sujet d’autres choses, même si ce qui est considéré n’est pas la solution finale pour la gravité.
Enfin si l’article 2 (à venir) relate de la gravité, c’est dans l’article 9 qu’il en sera plus largement sujet.
mardi 7 juin 2011
Nouvelles théories et Article 1
Je tiens à signaler que vont venir en partie des théories qui avaient déjà commencé à être développées par René Descartes, complétées par des connaissances nouvelles et d’autres hypothèses ; cela pour la pesanteur et les marées ; je ne veux pas faire comprendre que ce sont des choses auxquelles je n’avais jamais pensé, mais le décalage du raisonnement avec les théories utilisées actuellement était décourageant, surtout avec une réflexion qui ne semblait pas des plus simples, et c’est ici que j’ai trouvé le soutien du célèbre Descartes, qui m’a motivé pour achever ceci ; aussi pour le rejet du vide absolu qui n’est pourtant pas compliqué, il m’a remotivé, et pour l’aimant il a influencé ma réflexion ; tout ceci comme un équipier ou même un professeur qui vous fait comprendre que vous méritez de l’intérêt.
Article 1 :
Au sujet du vide absolu nous pouvons considérer mathématiquement qu’il représente le néant donc le zéro, ce qui semble difficile à obtenir dans l’absolu, car de rien on ne peut pas produire quelque chose et donc pas d’espace, puisque quand il y a le vide absolu entre deux parois elles sont collées ; suivant quoi il doit être encore plus difficile d’obtenir moins que le vide absolu. Ainsi comme il vaut mieux considérer ce qui peut exister que ce qui ne le peut pas, le zéro ne peut donc être que relatif et la négativité mathématique seulement exprimer un manque ; cependant il n’y a pas de problème à considérer géométriquement la racine carrée d’un manque, ce qui implique que celle d’un nombre négatif devrait dans ce cas être rationnelle, ce qui est approché par les nombres complexes où la partie manquante peut être considérée comme imaginaire et celle présente comme réelle ; mais pour réaliser entièrement la considération il faudrait [1] noter Ö-1=-1, car généralement on utilise i pour symboliser le domaine imaginaire mais le signe négatif devrait être suffisant.
[1] : Considérant qu’une surface manquante carrée peut être le produit de deux côtés manquants, sachant que si un seul était présent la surface serait aussi manquante, mais il y aurait deux racines par exemple 1 cm et -1 cm, une présente et une manquante ; aussi il faut bien relativiser le problème car si le signe négatif intervient en tant que rapport alors : -1 (objet) * -1 = 1 (objet), ou peut-être mieux : -*1 (objet) * - = 1 (objet), car le manque d’un manque est une présence et le rejet de celui-ci est la multiplication par 0, donc le non être relatif.
mardi 31 mai 2011
Conclusion pour les éléments
Le plus important d’une manière matérialiste peut sembler être le centre de rotation, de certains astres sur eux-mêmes, du système solaire, des tourbillons galactiques, etc..., et donc l’énergie importante qu’il renferme ; ainsi la concentration de l’Energie est importante à l’égard de notre existence, sachant qu’elle peut aussi nous détruire par l’intermédiaire de ses éléments tertiaires. Mais avant l’existence d’astres, nous devons considérer un équilibre de l’énergie formant des cycles permettant d’obtenir les atomes, ceci en produisant de la lumière à une concentration suffisante, puis une boule d’énergie où se font les cycles intermédiaires et les atomes, comme le centre de certains astres, c'est ce qui semble se passer, par l’intermédiaire du télescope, dans ce qui nous est désigné comme le trou noir, avec en plus l’absorption de matière déjà existante, mais les phénomènes impliqués dans ceci ne sont pas encore très clairs, bien qu’un équilibre soit certainement en jeu et en partie sous la forme d’un tourbillon apparemment. Les éléments naturels importants développés ensuite sont les composants chimiques qui donneront le sol, qui sera agité par le mouvement central et l’interaction des astres ; aussi les volcans et les mouvements des plaques lithosphériques de par le potentiel énergétique du centre des astres, ensuite les couches gazeuses de l’atmosphère qui retiennent l’eau et les vents de gaz mus entre autres par les interactions des planètes, et les dégagements de chaleur qui peuvent former la foudre ; enfin les organismes vivants issus de la combinaison ou de l’équilibre de tout ceci, ce qui les rend très dépendants.
De manière schématisée, nous obtenons :
Energie
+
Fractalisation asymétrique, Mouvement, Résistance, et Equilibre
Apporte : Particules malléables, Lumière, Particules intermédiaires, Chaleur, Atomes, Molécules, Matière, Astres et leur potentiel énergétique
+
Fractalisation asymétrique, Mouvement, Résistance, et Equilibre
Apporte : Flux de Particules, Gaz, Liquides
Leurs mouvements étant dus à leur propre équilibre et à celui des astres
+
Fractalisation asymétrique, Mouvement, Résistance, et Equilibre
Apporte : Organismes vivants
mardi 24 mai 2011
Les éléments tertiaires
Ces éléments peuvent s’ordonner selon la manière dont ils s’équilibrent afin d’y mettre un sens d’importance :
La lumière suivant la logique de ce système proviendrait de la concentration des particules malléables se mouvant ensemble ou plutôt de leur type si nous considérons le degré de fractalité (cf. la note [1] au sujet de tous les éléments dans la publication précédente). Mais pour nos sens elle possède différentes sources directes qui peuvent être des réactions chimiques, comme la combustion, aussi celle produite par les lucioles, et celle correspondant aux fusions ou explosions nucléaires ; mais peut aussi être l'électroluminescence produite par exemple par la foudre.
La chaleur suivant la logique de ce système se manifesterait à la base par le mouvement des particules secondaires inférieures à l’atome, et le contact qu’elles produisent, donc de manière sensible des plus grosses du second élément secondaire emportées par celles du premier, ainsi la lumière produirait plus ou moins de chaleur en fonction de la quantité et de la taille des particules suffisamment libres du second élément secondaire qu’elle transporte ; mais à l’échelle de nos sens elle a pour principales sources les réactions chimiques exothermiques comme la combustion (volcans et feux) et la fermentation (sol), mais aussi les chocs (astres et autres solides), les frottements (mouvements des plaques lithosphériques, astres et autres solides), la compression ou concentration d’énergie (centres des tourbillons, haute couche de l’atmosphère ou thermosphère) et la radioactivité (réaction en chaîne dans le soleil ou le centre de certains astres, et minerai issu du sol).
Les astres ne sont pas sans la concentration énergétique qui les a créé, ainsi nous obtenons entre autres le Soleil, la Terre, la Lune, et les comètes.
L’atmosphère n’est pas sans un phénomène énergétique qui permet la formation de couches plus ou moins résistantes aux échanges de particules, et pour nos sens sans la formation de gaz qui est issue de l’activité volcanique ou d’autres phénomènes liés à la masse en fusion comme les failles.
La pesanteur n’est pas sans le phénomène énergétique qui intervient dans la formation de l’atmosphère et ordonne les corps selon leur densité.
Les vents de surface ne sont pas de manière remarquable sans des changements de pression qui peuvent venir des variations de chaleur dues à la régulation de notre atmosphère, à notre situation par rapport au Soleil, donc à l’équilibre des mouvements des astres et l’activité des sources de chaleur. Par exemple cela produit des phénomènes comme les cyclones et les alizés. Mais le vent dépend aussi du dégagement de gaz apporté par la combustion et la fermentation, sans oublier les explosions qui libèrent brusquement du gaz ou/et des particules énergétiques.
L'eau vient de l'équilibre du potentiel énergétique des astres qui forme les différents atomes et molécules ; mais de manière usuelle nous pouvons remarquer son dégagement gazeux condensable lors de combustions et surtout de celle issue des volcans. Aussi si nous pouvons constater sa présence sur Terre c’est dû à l’inertie de l’atmosphère qui l’empêche de se dissiper dans l’espace suivant le mouvement de rotation de la Terre sur elle-même ; ainsi il est possible de la trouver sous trois formes différentes qui sont la vapeur (nuages...), le liquide (pluies, lacs, rivières, mers...), et la glace (neige, grêle, banquise...). Pour ce qui est des courants liquides ils ont en partie les mêmes causes que les vents appliquées à l’élément liquide et peuvent être influencés par eux, aussi les raz-de-marée viennent des activités volcaniques et des déplacements des plaques, où il y a des phénomènes thermiques mais aussi ondulatoires [1] ; et il faut prendre en compte les variations du relief pour les écoulements fluviaux.
[1] : Aussi des ouragans suffisamment puissants peuvent être accompagnés d’une lame de fond d’une hauteur considérable.
La foudre est issue de la formation de flux concentrés de particules, qui sont celles des deux premiers éléments secondaires, dans lesquelles se trouvent de celles qui forment la lumière ; ces flux sont appelés courants électriques, ici ils se forment dans l’air où ils se font un chemin au travers de l’humidité. Pour ceci il faut donc suffisamment de particules pour former ces flux, ce à quoi la chaleur peut contribuer, ensuite il faut l’atmosphère qui peut retenir l’eau et l’air, et enfin l’eau qui forme les nuages et l’humidité, qui catalysent les courants de particules de manière à les rendre électriques.
Enfin les organismes vivants ne sont pas sans la lumière, la chaleur, les différents composants minéraux et organiques qui forment le sol, aussi l’air donc l’atmosphère, et enfin l'eau. De plus il est possible de préciser que les animaux supérieurs ne soient pas sans les plantes qui assurent la présence d’oxygène, et celles-ci, si nous passons par un microscope, sans les micro-organismes unicellulaires tels que les protistes, qui sont issus de la formation de l’A.D.N. par les éléments qui viennent d’être cités.
Inscription à :
Articles (Atom)