mercredi 2 novembre 2022

Comme un livre

     Pour lire ce blog comme un livre, vous pouvez suivre les indications dans la colonne de droite : 

  "DEBUT".

  Autrement un état d'esprit que j'apprécie se retrouve bien dans une citation au début de "Conjectures et réfutations" de Karl R. Popper et la voici : 

   "Même la réfutation  d'une théorie à laquelle je suis attaché me réjouit désormais, car là aussi la science remporte un succès."  John C. Eccles


C'est ainsi que la science avance.


    Enfin il est possible de lire les articles 3, 6, 8 et 10 sur demande (laissez un commentaire ou utilisez facebook), si vous avez les arguments suffisants pour justifier ceci.


vendredi 20 juillet 2018

Génial

  Comment avoir une vie géniale ?
  Une chose bien est d'avoir des idées géniales qui rendent votre vie géniale, même si les autres ne sont pas d'accord (pour qu'elle le soit), pas prêts (la science universitaire est de plus en plus lente par exemple, cf. l'âge des prix Nobel de physique comparable à celui de ceux de la paix) ou pas honnêtes (sans commentaires...).
  Jusque mes nouveaux travaux, j'avais réfléchi à ce que le monde universitaire nous motive à réfléchir, Descartes fait partie des modèles qu'on nous donne (ainsi que Montesquieu, Rousseau ...), j'ai donc d'une certaine manière fait ce qu'on voulait que je fasse si possible, et je suis désolé si cela dérange trop certaines personnes (même si mes anciens travaux ont du succès dans le monde privé).

P.-S. : En ce moment je travaille sur la reconstruction (relativement au vieillissement modéré) du corps humain et au déblocage du programme génétique par des méthodes chimiques et physiques ; ainsi c'est moi qui dirige en réfléchissant aux problèmes qui m'importent et non à ceux du monde universitaire, même si ceux-ci peuvent en faire partie. Aussi un problème relativement aux autres est que suivant ce que je fais, passé un niveau de santé et souvent un certain âge, le risque d'accident mortel devient trop important (comme avec d'autres solutions médicales). Ainsi on ne peut appliquer cela qu'à des gens dans un état de santé plutôt bon (et c'est bon d'être en bonne santé). Mais en ce moment je ne publie rien sur ce travail (cf. le message d'avant).

  Le 4/02/19 : Pour l'instant d'après mon médecin, je suis en bonne santé mentale et physique. C'est vrai, je n'ai jamais eu le CANCER ou le SIDA, mais c'est déjà bien.

samedi 5 mai 2018

Publications

  Je ne publie rien en ce moment, car mon travail n'est pas encore prêt à être rendu public (ce qui pourrait être fait même si je suis dans le privé).

  Au sujet de la morale et de la politique (management à grande échelle), il est possible de consulter mon blog international pour lire une partie de mon travail (il faut chercher dans le blog, mais c'est publié un peu comme dans un livre). Voici l'adresse : https://eternal-cartesian.blogspot.fr/   (C'est mon blog le plus visité avec plus de 10 000 visites.)

mardi 2 avril 2013

Choses intéressantes


  La validité d’un travail comme le mien devant être testée, j’ai fait l’effort de noter certaines choses que j’ai placées parmi mes mises à jour à la fin de certaines publications. Aussi je dois avouer que je suis plutôt fier de ce que j’ai noté dans l’article 8 et qui est en rapport avec le 9 (sans considérer le grand nombre de données à analyser), car une nouvelle théorie doit être un meilleur outil de réflexion (plus logique) pour être valide, mais ainsi elle suit aussi le sens de la vérité, et quand elle la rencontre c’est vraiment un aboutissement (et oui, la pensée est un véritable atout de prévision). Mais les autres mises à jour ne doivent pas être négligées.

mercredi 11 janvier 2012

Mises à jour


  Il est possible de trouver des mises à jour à la fin de certaines publications faites sur ce blog.

mardi 16 août 2011

Pourquoi normalement les hommes intelligents veulent avoir ce qu’ils méritent


  Quand on lit Charles Sanders Peirce, il apparaît que l’instinct est une chose importante. Et si nous considérons la reproduction et des animaux comme l’écureuil roux, il vient que l’abondance est un élément important pour la reproduction ; ceci car instinctivement quand il n’y a pas assez d’éléments d’abondance comme la nourriture, la femelle rejette le mâle. Ainsi le sentiment de profusion semble déclencher le désir de se reproduire, et il semble aussi que cela fonctionne avec les femmes, ainsi ceci est juste instinctif et elles ne sont pas mauvaises car elles préfèrent les hommes avec une bonne quantité de richesses. Donc si nous considérons le fait que les meilleures femmes vont aller préférablement avec les hommes qui ont assez de richesse, les hommes qui sont les plus importants pour le bien-être d’un pays auront besoin d’avoir suffisamment de richesse pour avoir les femmes qui leur correspondent. Et ici nous avons besoin de considérer que si les hommes intelligents n’ont pas les bonnes femmes, ils risqueront plus d’avoir des enfants qui ne sont pas comme eux et plus comme des ouvriers par exemple. Enfin si l’instinct semble inévitable, après plusieurs siècles d’observation du comportement humain, certains excès peuvent être évités et prévenus par la pensée et les conseils en venant.

P.-S. : Aussi l’article 6 de la déclaration des droits de l’homme de 1789 va dans ce sens, considérant les vertus et talents. Même si l’histoire nous apprend qu’une révolution avec le peuple n’est pas la meilleure chose pour arranger les problèmes des gens intelligents ; mais la république est une bonne chose.
P.-S. 2 : Autrement je préfère ajouter qu’il semble que passé un certain niveau de richesse, l’importance de celle-ci diminue (il peut donc être mieux de donner la priorité à autre chose après une certaine limite).

mardi 9 août 2011

Théories

  Pour conclure il est bon de noter que la théorie en tant que construction intellectuelle a priori fait regarder le monde d’une manière différente et ainsi pousse à certaines inventions physiques qui font évoluer notre manière de vivre, en nous assurant une puissance propre à nous apporter la paix autant que nos théories sont les meilleures ; selon quoi il faut évidemment chercher car ce n’est pas en attendant que de nouvelles idées viennent affronter nos cinq sens que nous allons être à l’abri ; il faut aller méthodiquement donc intelligemment et si possible sans trop s’éloigner du sens commun à la recherche de ces idées, qui au début catalyseront au moins notre interprétation ; ainsi nous pouvons constater que l’héliocentrisme avait été considéré sérieusement par l’esprit d’Aristarque de Samos et plus certainement encore par celui de Copernic, avant que le télescope puisse apporter suffisamment de preuves sensuelles au reste du monde par l’intermédiaire de Galilée, comme quoi la preuve sensuelle n’est pas indispensable à la vérité, même si elle la confirme et qu’il vaut mieux ne pas prendre trop de risques. L’erreur reste véritable pour la pensée humaine mais au moins celles dont nous avons pris conscience deviennent autant de points de repère pour nous montrer le chemin de la vérité. Aussi pour juger une œuvre il faut la connaître entièrement (pour la partie scientifique de mon travail ce qui est présent devrait suffire dans un premier temps), ensuite il faut savoir faire la part des choses et ne pas jeter le tout quand seulement une partie est mauvaise (jusqu’à maintenant les corrections sont dues à mon propre jugement, mon travail a donc résisté à la critique), ce qui décourage à faire des hypothèses, alors que c’est bien ainsi qu’avance l’humanité, de par cette possibilité de progresser à l’aveuglette vers les vérités. Evidemment ceci nous soumet plus à l’erreur, mais il vaut mieux faire des erreurs et avancer que de ne pas en faire et rester plus loin de la vérité ; car avoir l’ambition de connaître ce qui ne finit pas et nous renforce toujours, nous pousse à aller de l’avant que ce soit directement ou par l’intermédiaire d’autres plus qualifiés pour découvrir les choses (donc surtout de ceux qui trouvent de bonnes idées), et à qui il faut donc donner l’opportunité de réfléchir dans les meilleures conditions possibles.

mardi 2 août 2011

Article 10


  L'eau vient de l'équilibre du potentiel énergétique des astres qui forme les différents atomes et molécules, et de manière usuelle nous pouvons remarquer son dégagement gazeux condensable lors de combustions et surtout de celle issue des volcans. Aussi si nous pouvons constater sa présence sur Terre c’est dû à l’atmosphère, et à la pesanteur et l’inertie qui s’y trouvent et qui la retiennent ; ainsi il est possible de la trouver sous trois formes différentes qui sont la vapeur (nuages...), le liquide (pluies, lacs, rivières, mers...), et la glace (neige, grêle, banquise...). Pour ce qui est des courants liquides ils ont en partie les mêmes causes que les vents appliquées à l’élément liquide et peuvent être influencés par eux, aussi les raz-de-marée viennent des activités volcaniques et des déplacements des plaques, où il y a des phénomènes thermiques mais aussi ondulatoires [1] ; et il faut prendre en compte les variations du relief pour les écoulements fluviaux.

  Autrement nous pouvons penser que le mouvement en marées vienne d’une interaction entre le ciel terrestre et celui de la Lune, d’où en première hypothèse nous pouvons avancer (dans le cadre de l’hypothèse de Descartes à ce sujet (cf. Le Monde))…



  Le reste de cet article qui a été amélioré ne peut pas être publié ici. 


[1] : Aussi des ouragans suffisamment puissants peuvent être accompagnés d’une lame de fond d’une hauteur considérable.

mardi 26 juillet 2011

Article 9


  La pesanteur ne serait pas sans un équilibre énergétique, aussi elle est considérée de force constante suivant une même courbe géoïde gravimétrique, et posant que tout équilibre dans la pratique est limité dans la durée, ceci implique qu’il soit entretenu ; donc si je ne me trompe il ne faut pas penser que la force puisse exister sans qu’il y ait de mouvement et qu’elle puisse ainsi en produire une quantité variable [1]. Donc pour expliquer la pesanteur d’une manière rationnelle, nous pourrions supposer qu’elle soit entretenue par des flux de particules des deux premiers éléments secondaires [2] et surtout de malléables et des plus petites en cycles qui ne produisent pas de chaleur de manière considérable (voir article 2), qui s’appliqueraient de manière quasiment homogène à la superficie d’un objet, tout en pénétrant aussi son intérieur par presque tous les pores, ce qui diminuerait l’importance de la masse et de la superficie s’il est possible de négliger la résistance de l’air ; à notre connaissance ces flux ont deux sources principales en particules, et constantes qui sont la lumière du soleil et le rayonnement de la Terre. Aussi la lumière pourrait tout de même pénétrer l’atmosphère malgré la résistance à la rupture entre deux couches (cf. atmosphère, article 8) car elle se présente en flux suffisamment denses et rapides, pourtant ce serait cette même résistance qui ferait que ces particules puissent nous pousser dessus, car quand elles seraient en concentration moins dense que la lumière, malgré leur vitesse elles rencontreraient une résistance qui les ferait tourner sur elles-mêmes ou en cercle pouvant évoluer de manière hélicoïdale, et les ferait former des vents par une réorientation en masse, mais aussi pousser les objets plus denses vers le bas [3] par l’intermédiaire surtout des plus petites particules cycliques secondaires ; cette poussée se formerait car le mouvement très rapide des particules malléables et leur taille qui les laisse passer presque partout les rendent plus propres à aller dans les couches supérieures (cf. atmosphère, article 8). Ainsi les particules qui formeraient cette pesanteur seraient à la base les particules primaires ou malléables obtenues par fractalisation, qui sont douées d’un mouvement autonome et très rapide (cf. article 2) ; et particulièrement celles qui se trouvent au niveau du corps et seraient en voie suivant leur progression vers le haut et non vers la bas de prendre sa place puis de passer au-dessus en transmettant le mouvement surtout par les plus petites particules cycliques ; d’ailleurs le flux déjà orienté des particules vers la possibilité de s’échapper par le haut oriente facilement celles qui entrent et se diluent dans la couche où il agit, sachant comme énoncé précédemment que ce flux est alimenté en particules par un flux venant de dessous le sol par le rayonnement de la Terre, et qui périodiquement se trouve renforcé par les particules venant du soleil qui sont arrêtées au sol et par les nuages en partie et ont de même manière de la facilité à tendre vers le haut, tout en entretenant une concentration constante dans certaines limites car la résistance atmosphérique n’est pas impénétrable, aussi elle agit un peu comme une soupape qui serait plus ou moins ouverte selon la pression.


[2] : Lien pour les éléments qui composent l’énergie : http://conseil-cartesien.blogspot.com/2011/05/les-elements-qui-composent-lenergie.html

[3] : La lumière (sauf laser) n’opposerait pas de résistance considérable aux corps détectables par les sens car pour agir ainsi sur ces corps il faudrait qu’elle passe par l’intermédiaire des autres particules de l’atmosphère qui opposent plus de résistance et dont il faudrait qu’elle détermine la trajectoire dans son sens sans les disperser ; ainsi la conduction du mouvement dépendrait comme pour la chaleur des particules mélangées avec un flux de particules malléables, car ce serait surtout les plus petites particules cycliques, qui ne produisent pas de chaleur de manière considérable, qui seraient efficaces pour transmettre le mouvement car elles réagissent normalement mieux ; mais ces particules seraient en concentration plus grande dans l’atmosphère que dans la lumière, de par l’écartement qu’implique la concentration des particules malléables, selon quoi le mouvement des particules malléables serait mieux conduit par l’atmosphère ainsi composée que par la lumière, et quand la lumière s’y mélange il est possible de supposer la présence de rayons de lumière, ce que au moins la présence d’atomes rend inévitable de par leur résistance en masse au flux lumineux. Au sujet du laser, l’action est surtout thermique, ce qui est possible selon la proportion entre particules malléables et thermiques (mélange forcé à la base), et même si la concentration des particules produisant la chaleur n’a pas besoin d’être très élevée pour la rendre sensible, la production d’un mouvement relativement faible est possible par leur action. Enfin pour la fission d’un atome les particules malléables y étant tellement concentrées, qu’au moment du phénomène elles se déploieraient en boule, qui pour se diluer n’aurait pas d’autre possibilité que d’entraîner à son front toutes les particules les plus propres à transmettre le mouvement et les autres, car elles ne pourraient pas les éviter considérant l’absence de rayons à la base et leur très forte densité.

  Aussi la pesanteur est surtout remarquable dans la couche d’inertie la plus proche de la Terre, ce qui pourrait être dû au fait que la rupture entre cette couche et la suivante serait plus grande qu’entre les autres de par une variation plus grande de la vitesse angulaire, ce qui formerait une résistance plus forte au déplacement des particules. Ainsi considérant les ruptures donc les résistances différentes il est normal qu’il y ait une impression d’apesanteur relative dans certaines couches entre la Terre et la Lune ; ce qui serait accentué par le fait que plus la concentration énergétique formant les particules primaires est faible plus le degré de fractalité est élevé [1], donc moins les particules résistent au déplacement, de la même manière que quand la viscosité est moindre dans les fluides habituels.

[1] : L’Energie doit être considérée comme se fractalisant de manière asymétrique, ou il y a un autre attribut équivalent dans sa logique pour que le mouvement et l’équilibre puissent former des sous-ensembles et s’y appliquer, plutôt que de mouvoir une grosse masse homogène. Ce principe de fractalisation permettant la divisibilité partielle infinie de l’Energie, partielle car il n’y a pas de vide absolu spacieux entre les parties ; aussi on peut considérer que le degré de fractalité dépend de la concentration en énergie, ainsi plus elle est élevée plus il est faible, car le mouvement produisant la concentration compense la fractalisation.

  Mais il reste quelque chose à expliquer pour que ceci soit vraiment logique, car à une même altitude dans la couche la plus proche du sol la pesanteur augmente en allant de l’équateur vers le pôle Nord, bien que ce ne soit pas le cas en allant vers le pôle Sud (il y a plus d'irrégularités) ; de même il peut sembler étrange que la pesanteur diminue quand l’altitude augmente dans cette même couche, alors que les gaz les plus lourds, comme le CO2, qui sont donc les plus proches du sol ont une portance plus grande comme l’eau liquide par rapport à l’air, ce qui devrait proposer le phénomène inverse (si nous nous référons aux conditions de l’expérience de von Jolly). Ainsi il faut donc prendre en compte un nouveau facteur qui est la composition du sol, et ici nous pouvons considérer une matière noire ayant un pouvoir attractif, qui est la magnétite ou l’aimant minéral, et qui comme son nom l’indique forme un champ magnétique [1] en créant un flux avec les particules des deux premiers éléments secondaires et surtout les plus petites ; aussi le flux qu’elle formerait ici serait assez faible comme le montrent les boussoles, et ne créerait pas sensiblement de chaleur car surtout les petites particules du second élément secondaire y participeraient (voir article 2), mais il augmenterait tout de même la quantité des particules servant à la pesanteur dans les zones géographiques où se trouverait de la magnétite en plus forte concentration, en considérant qu’il s’en trouve un peu partout dans la croûte [2] ; ce qui pourrait expliquer ces variations au niveau du sol.

  D’ailleurs ce système de pesanteur serait propice à expliquer le phénomène des aurores boréales, car quand la concentration en particules du premier élément secondaire serait assez élevée (voir article 2), il serait normal qu’il se produise des phénomènes lumineux ; ce qui arriverait plus facilement à proximité du pôle Nord magnétique car ces particules seraient plus concentrées grâce au champ magnétique (plus de magnétite qui oriente le champ magnétique à d’autres endroits)[1].

[1] : Aussi le mouvement sous la croûte terrestre de la masse de fer en fusion pourrait produire un courant pouvant participer au champ magnétique (cf. théorie de l’effet dynamo).

[2] : Considérant qu’il y a toujours une possible production de magnétite sous la croûte.

  Autrement au sujet du rôle de particules telles que celles d’un champ magnétique dans le procédé de la gravité, il est possible de consulter le cas de la souris en lévitation magnétique avec une étude de la NASA en rapport avec la gravité (ou de la grenouille par A. Geim (prix Nobel) et M. Berry), ici le champ magnétique est suffisamment plus élevé que le rayonnement de la Terre (qui n’est pas local), mais aussi que la gravité, ce qui donne l’effet d’une poussée locale sur un être vivant effectuée par des particules du même type que celles considérées ici pour la gravité, ce qui se rapproche des pinces optiques relativement à des petites choses (voir fin article 6 au sujet de l’aimant). Enfin les particules ici considérées pour le champ magnétique général de la Terre viennent d’un champ magnétique assez faible et interviendraient par dispersion des particules participant au champ magnétique (se libérant pour la participation à la gravité), et possiblement par poussée, ceci surtout aux pôles, car le champ magnétique est vertical aux pôles (donc poussée vers le haut ou le bas dans le champ).

  En outre pour ce qui est de la crédibilité des trous noirs, il est possible de lire ceci : http://www.nature.com/news/2010/101214/full/468876a.html

  Enfin trouvez des précisions en commentaire ci-dessous.



Mise à jour du 21/11/11 : Au sujet de l’expérience de Cavendish, elle est faite avec des masses de plomb ; mais considérant ma théorie de l’aimant (cf. article 6), il ne faut pas omettre l’émission des atomes et l’organisation de cette émission, ainsi même si le plomb ne réagit pas comme le fer à l’émission du flux d’un aimant, l’organisation propre du sien, n’empêche pas qu’il puisse posséder une interaction particulière, avec une   complémentarité différente entre les pores (cf. article 7). Ainsi l’interaction entre les sphères de plomb ne serait pas due à l’attraction venant de la gravitation universelle, mais à un champ de force spécifique (ce qui n’a rien de bizarre et est même plus rationnel).

Mise à jour du 23/03/12 : Pas de string balls et toujours pas de trous noirs produits avec le LHC, selon les résultats de 2011 (ce qui n’est pas bon pour la théorie actuelle de la gravitation). Voir cette parution : http://arxiv.org/pdf/1202.6396.pdf
 
Mise à jour du 15/03/13 : Dans le document à l’adresse qui suit est présentée la recherche de larges extra dimensions, gravitons, troues noirs microscopiques, « long-lived » particules, matière noire, et leptoquarks. Aussi aucun signe de l’existence de ces phénomènes physiques n’a été détecté.
  En plus je tiens à préciser que mon travail n’est pas concerné par ce qui est considéré dans cette publication (pour l’instant tout va bien pour lui), par exemple au sujet des « Long-Lived Neutral Particles » et il est possible de le vérifier si vous le souhaitez en suivant les références présentes dans ce document. 

 Document :
 
  Autrement il y a aussi une publication au sujet de l’absence de production de string balls et de troues noirs au LHC, selon les données de 2012 et avec une meilleure sensibilité qu’en 2011. Voir cette parution : http://cds.cern.ch/record/1460444?ln=en


mardi 12 juillet 2011

Article 7


  Le champ magnétique en tant que champ de force spécifique à l’aimant se dessine autour de lui dans sa forme habituelle, en parallélépipède, d’une manière particulière, qui est en papillon ; ce qui pourrait s’expliquer selon la théorie précédemment développée (voir article 6) par le fait que l’aimant selon une structuration géométrique et homogène, comme pour les cristaux habituels, développerait un ensemble de mouvements homogène et géométrique. Ainsi dans le cas de l’aimant suivant un axe de répartition les pores situés d’un côté auraient un pouvoir attractif venant de la dépression formée par l’accompagnement du mouvement interne en cyclone, qui entraînerait les particules des deux premiers éléments secondaires environnantes [1], et de l’autre côté aurait un pouvoir expulsif venant de la pression formée par le mouvement cyclonique sortant. Mais par équilibre les cyclones sortants seraient complémentaires d’entrées cycloniques, ainsi il serait normal qu’au niveau de l’axe de répartition considéré, se forme avec la plus grande simplicité des ponts entre les pores d’entrée et de sortie cycloniques ; ensuite pour la formation de ponts entre des pores plus éloignés, ceci se ferait par enchaînement logique, car d’un côté du cyclone sortant ou entrant se trouverait un espace libre venant de la courbure en pont du cyclone de même type à cet endroit, et de l’autre il y aurait la résistance et même la pression formée par un cyclone de même type non relié, sachant qu’il n’y aurait pas de fusion entre les cyclones du même côté de l’axe mentionné à cause du fait qu’ils auraient le même sens de rotation et ainsi se repousseraient ; selon quoi celui considéré serait poussé contre le pont formé précédemment, ainsi se courberait et formerait à son tour un pont en trouvant sur son trajet un cyclone complémentaire, mais plus les pores seraient éloignés plus la force du pont serait faible à cause de la dispersion du mouvement cyclonique. Enfin il viendrait logiquement que la complémentarité ou résistance, entre deux pôles d’aimants différents viendrait du type de cyclone rencontré, entrant ou sortant ; aussi il faudrait considérer que le contact entre deux aimants implique, relativement à l’ensemble des deux, que les cyclones aient un mouvement plus dense qu’avant le contact, par une plus grande concentration de particules selon la trajectoire qui leur serait offerte en résistant à leur mouvement droit, particules qui devraient parcourir une plus longue distance avant de pouvoir avoir la liberté d’une trajectoire plus droite, ce que l’expérience vérifie.

[1] : Lien pour les éléments qui composent l’énergie : http://conseil-cartesien.blogspot.com/2011/05/les-elements-qui-composent-lenergie.html

mardi 28 juin 2011

Articles 4 et 5

Article 4 :



  La radioactivité non artificielle concerne les atomes lourds et si on considère une grande densité, qui contiendraient plus de particules en mouvement ou/et des particules ayant un degré de fractalité [1] moindre, ce qui impliquerait que par dégradation des équilibres les composant, ils pourraient émettre des flux de radiations très forts et pénétrants.

[1] : L’Energie doit être considérée comme se fractalisant de manière asymétrique, ou il y a un autre attribut équivalent dans sa logique pour que le mouvement et l’équilibre puissent former des sous-ensembles et s’y appliquer, plutôt que de mouvoir une grosse masse homogène. Ce principe de fractalisation permettant la divisibilité partielle infinie de l’Energie, partielle car il n’y a pas de vide absolu spacieux entre les parties ; aussi on peut considérer que le degré de fractalité dépend de la concentration en énergie, ainsi plus elle est élevée plus il est faible, car le mouvement produisant la concentration compense la fractalisation.





Article 5 :



   La piézo-électricité viendrait du fait que les flux, issus de la décomposition des équilibres d’un assemblage moléculaire en cristaux, seraient distribués selon un réseau qui soumis à une pression les concentrerait de manière à devenir électriques ; ce que la contrainte subie par les atomes pourrait accentuer relativement à l’émission des noyaux.

jeudi 16 juin 2011

Science et mécanique quantique

   Ici vont se trouver des extraits de « La partie et le tout » de Werner Heisenberg (prix Nobel).

   Heisenberg : « Peut-être était-il possible de diviser indéfiniment la matière, à ceci près qu’à la fin il ne s’agirait plus vraiment d’une division, mais d’une transformation d’énergie en matière… » (Cf. la partie : « Discussion sur le langage »)



Pour la structure de l’atome (relativement à celle que je vais proposer dans la prochaine publication sur le blog) :

   Heisenberg : « Or, s’il existe une trajectoire de l’électron dans une chambre de Wilson, il doit bien en exister une également à l’intérieur de l’atome. Mais j’avoue avoir déjà eu des doutes à ce sujet. Car s’il est vrai que nous calculons une orbite électronique selon la mécanique newtonienne classique, nous lui conférons ensuite, à l’aide des conditions quantiques, une stabilité qu’elle ne devrait jamais posséder en vertu de cette même mécanique newtonienne ; et lorsque l’électron saute (dans le cas d’émission de rayonnement) d’une orbite à l’autre, nous préférons ne rien dire au sujet de ce saut : est-ce un saut en longueur, un saut en hauteur ou quoi d’autre ? Donc, dans un certain sens, toute l’idée que nous nous faisons de l’orbite d’un électron à l’intérieur de l’atome doit être absurde. Mais alors, quoi ? » (Cf. la partie : « La notion de “comprendre" dans la physique »)

   Wolfgang (Pauli) approuva. «Tout cela est vraiment extrêmement mystérieux. S’il existe une orbite de l’électron à l’intérieur de l’atome, l’électron doit manifestement tourner sur cette orbite de manière périodique, avec une fréquence déterminée. Dans ce cas, les lois de l’électrodynamique exigent que les oscillations électriques émanent de la charge effectuant ce mouvement périodique. Autrement dit, de la lumière doit être rayonnée avec la même fréquence. Mais, en réalité, il n’en est pas du tout ainsi : la fréquence d’oscillation de la lumière rayonnée se situe en fait entre la fréquence d’orbite qui précède le fameux saut si mystérieux, et celle qui le suit. Tout cela est au fond pure folie. » (Cf. la partie : « La notion de “comprendre" dans la physique »)

  Wolfgang : « … ; quant à nous deux, en toute honnêteté, nous ne croyons même pas aux orbites électroniques… » (Cf. la même partie)

  Heisenberg : «…Bohr doit savoir, lui aussi, qu’il part d’hypothèses qui contiennent des contradictions, qui ne peuvent donc pas être justes sous la forme considérée… » (Cf. la même partie) 

  Niels Bohr, prix Nobel de physique, et créateur du modèle actuel de l’atome : « Par stabilité, j’entends que ce sont toujours les mêmes substances, avec les mêmes propriétés, qui apparaissent… Ceci est incompréhensible selon la mécanique classique, surtout si l’on admet que l’atome ressemble à un système planétaire. » (Cf. la même partie)

  Il ajoute un peu plus loin : « Ces images (d’atomes), répondit Bohr, ont été déduites ou plutôt si vous préférez, “devinées“ à partir de faits expérimentaux ; elles ne sont pas le fruit de quelconques calculs théoriques. J’espère que ces images décrivent la structure des atomes aussi bien (mais seulement aussi bien) que possible dans le langage visuel de la physique classique… »

  « Mais comment sera-t-il possible, dans ces conditions, de faire des progrès ? En fin de compte, la physique ne doit-elle pas être une science exacte ? » (Cf. la même partie)

  « Nous devons nous attendre, dit Bohr, à ce que les paradoxes de la théorie quantique, les aspects incompréhensibles liés à la stabilité de la matière, s’éclairent de façon toujours plus nette avec chaque fait expérimental nouveau. S’il en est ainsi, nous pouvons espérer qu’au cours du temps de nouveaux concepts se formeront, et que ces nouveaux concepts nous permettront de saisir d’une certaine manière même les processus non visuels se déroulant dans l’atome. Mais, de cela, nous en sommes encore très loin. » (Cf. la même partie)

mardi 14 juin 2011

Article 2

  La lumière logiquement proviendrait de la concentration des particules malléables se mouvant ensemble [1] ou plutôt de leur type si nous considérons le degré de fractalité [2], et elle pourrait être accompagnée plus ou moins de chaleur en fonction de la quantité et de la taille de particules suffisamment libres du second élément secondaire qu’elle transporte [3] ; en plus pour le déplacement lumineux rappelons que les particules primaires ou malléables obtenues directement par la fractalisation de l’Energie possèdent un mouvement autonome [2] et très rapide [4] de par les attributs énergétiques, aussi à une concentration d’énergie suffisante, dans un même sens elles peuvent entraîner les particules formées par des cycles de ces mêmes particules primaires, selon quoi elles sont à la base de tous les mouvements (dans le cas de la lumière cf. article 9 à venir). Autrement nous pourrions penser que, par l’influence du mouvement majoritaire dépendant de la répartition de la masse énergétique donc de la forme, le mouvement dans la particule malléable pourrait s’orienter de manière uniforme.

Mais pour nos sens la lumière possède différentes sources directes qui peuvent être des réactions chimiques, comme la combustion, aussi celle produite par les lucioles, et celle correspondant aux fusions ou explosions nucléaires ; mais peut aussi être l'électroluminescence produite par exemple par la foudre. D’ailleurs nous pouvons noter que la manifestation lumineuse prouve bien ici (dans ce système) que l’énergie est la même au niveau des électrons avec l’électroluminescence durant laquelle ils cohabitent en forte concentration avec la lumière, et au sein du noyau avec la lumière et non son absorption obtenue en l’ouvrant. De plus comme il a été remarqué dans l’article 1 la négativité peut être acceptée en tant qu’elle représente un manque, mais il devrait forcément chercher à se compenser, ce qui ne s’observe pas ici. Aussi si la recherche d’absorption était un phénomène présent pour chaque morceau de matière et proportionnel à sa densité [5], pourquoi au niveau planétaire les plus grosses parties seraient plus facilement attirées entre elles ? Alors qu’ainsi elles devraient se proposer plus d’interaction comme les parties identiques des aimants, et donc laisser entre elles les petites parties moins denses, donc d’attraction inférieure ; pourtant la flamme monte et il n’y a pas d’espace entre une pierre et le sol, au repos.

[1] : Les couleurs pouvant venir de différents degrés de concentration. \ [2] : L’Energie doit être considérée comme se fractalisant de manière asymétrique, ou il y a un autre attribut équivalent dans sa logique pour que le mouvement et l’équilibre puissent former des sous-ensembles et s’y appliquer, plutôt que de mouvoir une grosse masse homogène. Ce principe de fractalisation permettant la divisibilité partielle infinie de l’Energie, partielle car il n’y a pas de vide absolu spacieux entre les parties ; aussi on peut considérer que le degré de fractalité dépend de la concentration en énergie, ainsi plus elle est élevée plus il est faible, car le mouvement produisant la concentration compense la fractalisation. \ [3] : Cf. une publication précédente : « Les éléments qui composent l’Energie » : http://conseil-cartesien.blogspot.com/2011/05/les-elements-qui-composent-lenergie.html . \ [4] : L’Energie est aussi infiniment puissante de par ses possibilités. Ainsi l’Energie s’exprime par l’infinie puissance de son mouvement et de son équilibre suivant les affinités ou résistances des choses ou équilibres les uns par rapport aux autres.\ [5] Voir sur le blog la dernière publication (sur Newton).